La société civile forces vives sous-noyau du groupement des Basongora qui a son siège social en cité frontalière de Kasindi (territoire de Beni) salue les exploits de l’appareil sécuritaire dans l’éradication de l’insécurité au niveau local.
M. Kinos Katuo son Premier-vice a ce samedi 02 novembre 2024 encouragé les services de sécurité du poste frontalier de Kasindi, après qu’ils aient abattu par arme à feu trois bandits criminels de la nationalité Ougandaise qui faisaient partie des cambrioleurs des maisons des civils à l’intervalle de dix jours seulement.
Pour rappel le dernier cas enregistré date dans la nuit du vendredi 01 à ce samedi 02 novembre dernier au quartier Majengo. Des bandits voulant opéré dans la résidence du journaliste journaliste Paul Zaidi de Taarifa- RDC, l’un d’eux a été neutralisé par les patrouilleurs.
« Nous félicitons les forces de l’ordre de Kasindi pour avoir abattu trois bandits de grand chemin de nationalité Ougandaise à l’intervalle de dix jours », s’est-il exclamé, avant de poursuivre que : « Plus de dix civils ont été blessé par ces bandits au côté de quarante maisons visitées dans presque tous les quartiers de cette cité qui partage la frontière avec l’Ouganda à partir de la partie (Est) de la RDC en province du Nord-Kivu à l’espace de trois mois ».
Face à cette situation dramatique caractérisée par des sabotages des maisons des civils par des bandits à Kasindi, le chef du secteur de Ruwenzori où est localisée cette agglomération a intervenu à chaud. Kasereka Mapathi Japhet a rassuré la population de ce coin de la détermination des services de sécurité qui vise à contrer toutes les stratégies mafieuses de ces filous. C’était lors d’une assise stratégique tenue au bureau administratif du quartier Congo ya Sika faisant siège de l’office temporaire du Fonctionnaire délégué affecté à Kasindi le samedi dernier.
En pleine patrouille mixte FARDC-PNC au quartier Mwangaza dans la même nuit du vendredi au samedi les éléments de l’ordre ont déjoué une autre incursion des bandits dans une résidence civile près du complexe scolaire Kisokero. C’était après un concert des bidons couplé aux cris d’alerte de la population.
Georges Kizito, à Beni