L’insécurité bat record ce dernier temps en ville de Goma.Désormais, il ne se passe une nuit sans que l’on enregistre des cas d’assassinat dans cette ville touristique, chef-lieu du Nord-Kivu, aussi confrontée au phénomène M23.
D’après les sources locales, au moins 11 jeûnes ont été tués par des hommes armés non autrement identifiés en seulement un mois dans cette ville. Celà, sans compter des blessés qui continuent toujours à poursuivre des soins appropriés dans différentes structures sanitaires.
D’après Claude Rugo, président de la jeunesse de la commune de Karisimbi, au delà des jeunes tués et d’autres blessés plusieurs maisons d’hatation ont été cambriolés par ces bandits. Le président de la jeunesse, déplore le fait que des cas d’insécurité s’enregistrent toujours en dépit de l’arrestation suivi de la présentation de plusieurs criminels à la population par les autorités de l’État de siège.
Il pense que ces assaillants n’ont toujours pas peur d’opérer suite à la faiblesse des autorités qui n’arrivent pas à déféré les présumés bandits déjà arrêtés devant les instances judiciaires pour qu’il répondent de leurs actes et servent d’exemple aux autres qui courent encore dans la nature. L’insécurité causé par des hommes armés dans cette ville est à la base des cas de soulèvement des jeunes réclamant la restauration de la paix en ville de Goma. Ce mercredi, des jeunes ont manifesté pour réclamer justice après l’assassinat d’un autre jeune dans la commune de Karisimbi.
Étant rescapé d’une attaque des hommes armés dans le quartier Ndosho, en ville de Goma, Claude Rugo, invite ainsi donc les autorités à prendre des nouvelles stratégies pour mettre la mains sur les auteurs des cas d’assassinat et cambriolages dans les maisons des civils. Pour rappel, deux jeunes revendeurs des souliers au niveau de l’instigo ont été fusillé par des hommes en armés qui étaient vêtus en tenues militaires selon des témoignages des rescapés.
Bienfait Tumsifu, à Goma.