Débutée mercredi dernier, la campagne électorale des candidats sénateurs dans la province du Nord-Kivu s’est poursuivi ce jeudi 23 mai 2024 dans la grande salle des Conférences de la Banque de Développement des Pays de Grands-Lacs (BDGL).
Pour cette deuxième journée, des nombreux candidats ont pris la parole tour à tour au perchoir. Ils ont présenté leurs projets de société pour tenter de convaincre les députés provinciaux, considérés comme des électeurs aux élections sénatoriales.
Parmi les candidats ayant conquis le coeur des élus figure Muhindo Kivatsi Bienfait, numéro 12 sur la liste de la Commission Électorale nationale indépendante (CENI). Dans son discours et éléments de réponse, M. Bienfait Kivatsi a séduit les parlementaires de la troisième législature par son projet de société.
Homme d’affaires depuis plusieurs années, celui-ci s’est présenté comme candidat de « l’innovation » et qui veut relever les défis de la province du Nord-Kivu au niveau de la chambre haute du parlement. Trop jeune, il s’est engagé devant les élus à prendre la situation sécuritaire et économique comme priorité, une fois élu parmi les quatre (4) sénateurs que devront représenter la province.
Avec des ambitions mesurées et d’une expérience exceptionnelle, Muhindo Kivatsi Bienfait prône la justice sociale, la cohésion et le partage de la richesse de la République Démocratique du Congo (RDC). Fournisseur de la ratio alimentaire avec ses entités économiques, ce noble serviteur du peuple a, lors de son discours mobilisé son électorat pour pacifier la province du Nord-Kivu.
Entrepreneur de nature, Muhindo Kivatsi Bienfait se veut de servir la nation au-delà même de contribuer à l’économie du pays et à la création d’emplois en lui représentant valablement au sénat pour apporter effectivement son expertise et ses éléments innovateurs.
Sans tergiverser, le candidat numéro 12 aux élections sénatoriales du 26 mai courant a sollicité le suffrage des élus. A haute voix, il se dit prêt à mourir pour le peuple du Nord-Kivu, une fois envoyé à la chambre haute du parlement.
Rédaction